Commentaires
Conteur
le 22/01/2023 à 22:00
🐔🐔
gaudens
le 22/12/2022 à 14:51
Bonjour,
Résidant en métropole, je serais intéréssé pour l'achat du livre de Mr Camille Baptiste, pourriez vous me donner quelques coordonnées afin que je puisse contacter un libraire ouson éditeur. Vous en remrciant par avance
Cordialement
Gaudens
ZOREIL KAPAB KOZ KR2OL UN SOUS- MARIN
le 21/12/2022 à 19:02
POST 5 Vous êtes sérieux à cette époque la vie n'était pas aussi rose beaucoup de familles étaient pauvres et illettrés , les enfants étaient placés sans l'accord des familles je vous demanderai de revoir l'histoire des enfants de la CREUSE le pouvoir était entre les mains du pouvoir , aujourd'hui les gens savent se défendre , à chaque fois vous avez tendance à dénigrer le kréol!
Sophiedetoulouse
le 21/12/2022 à 15:21
Bonjour à ta petite famille, le petit doit être bien grand maintenant.
Au cas où si tu te souviens pas.
Le micro ondes et nos familles se connaissent.
Je vais acheter ton livre.. A bientôt
Zorey kapab koz kreol
le 21/12/2022 à 15:20
Des enfants de la DDASS et qui souffrent…
Rien de nouveau malheureusement.
Qu’ont fait ces grands-parents ? Qu’on fait ses oncles et tantes ? N’avait t’il pas de père ?
Dans la plupart des autres pays du monde ( Chine, Inde, Madagascar, Sénégal, Algérie, Soudan , Brésil etc…), il aurait été laissé dans les rues et seraient très probablement mort de faim ou de la violence des rues.
Une chose est certaine dans ces pays aux conditions de vie bien plus dure , il n’aurait pas été placé à la DDASS, il n’aurait pas trouvé d’emploi et il n’aurait pas eu le temps d’écrire un livre sur ses souffrances.
Sophiedetoulouse
le 21/12/2022 à 12:51
Bonjour camille.
Quel plaisir de te revoir après tant d'années.
J'aimerais prendre contact avec toi.
Sophie de la région toulousaine.
Enfance maltraitee
le 21/12/2022 à 10:59
Merci pour ce témoignage.
gaston logaffe et vincent logaffe ( zimo la kour).
le 21/12/2022 à 10:59
TOUZOUR ban'de ti kréol basané i sibi lo misèr ! i dévréé kré un bank i indemnii'ise tout'te band kréol la sibi lo misè'rr nwar'rr !!! tout'tte band kréol descendan'nt lo lesclavaz i devré tourne la roue lo l'émission "Millionnaire" animé par phillippe risoli. koma toute l'inzistis lo passé , lo présent !!!! lé touffé dan lo fitir par ti kréol basané indémnisé La sibi l'esclavaz.
gaston logaffe et vincent logaffe ( zimo la kour).
le 21/12/2022 à 10:51
TOUZOUR ban'de nwar i sibi lo misèr ! i dévréé kré un bank i indemnii'ise tout'te band nwar la sibi lo misè'rr nwar'rr !!! tout'tte band nwar'rr descendan'nt lo lesclavaz i devré tourne la roue lo l'émission "Millionnaire" animé par phillippe risoli. koma toute l'inzistis lo passé , lo présent !!!! lé touffé dan lo fitir par nwar indémnisé La sibi l'esclavaz.
Vidéo - L'enfer des orphelins d'Hell-Bourg
Rédigé le 21/12/2022
Sophie Fontaine
Camille a 8 ans lorsque sa mère décède, en 1960. Le jeune garçon est pris en charge par les services de la DDASS et envoyé dans un foyer d'accueil dans les Hauts de La Réunion. Il raconte la violence, la méprise, la maltraitance qu’il y a vécu, dans l’indifférence la plus totale.
Cette enfance douloureuse, la sienne et celle de centaines d’autres orphelins réunionnais, rythmée par la violence, la négligence, la maltraitance, Camille Baptiste l’a décrite dans son livre Les orphelins d’Hell-bourg, paru aux éditions L'harmattan.
Retraité de la Poste, l’auteur a puisé dans son enfance pour écrire son premier livre. Il y rend hommage à sa mère, malheureusement décédée en 1960, et nous plonge dans sa vie d’après, celle d’un enfant de 8 ans, sans parents, sans défense, laissé aux mains des moniteurs de l’APEP, le foyer d’accueil d’Hell-Bourg, à Salazie.
“Nous sommes dans une maison de redressement, qui n’en est pas une officiellement, mais qui en possède les artifices”, décrit-il dans son livre. Camille raconte la violence du quotidien pour les centaines d’enfants qui comme lui s’y retrouvent, et celle de certaines personnes qui ont marqué les lieux.
Retraité de la Poste, l’auteur a puisé dans son enfance pour écrire son premier livre. Il y rend hommage à sa mère, malheureusement décédée en 1960, et nous plonge dans sa vie d’après, celle d’un enfant de 8 ans, sans parents, sans défense, laissé aux mains des moniteurs de l’APEP, le foyer d’accueil d’Hell-Bourg, à Salazie.
“Nous sommes dans une maison de redressement, qui n’en est pas une officiellement, mais qui en possède les artifices”, décrit-il dans son livre. Camille raconte la violence du quotidien pour les centaines d’enfants qui comme lui s’y retrouvent, et celle de certaines personnes qui ont marqué les lieux.
Des enfants exilés
Quelques années plus tard, il est envoyé en métropole avec une vingtaine d’autres enfants du foyer, sans avis préalable. Camille découvre son nouveau foyer, l’orphelinat Saint-Jean à Albi, où il lui faut s’adapter une nouvelle fois. Ici, il connait l’éloignement. Tout ou presque est différent : les personnes, le climat, la nourriture, la langue, le fonctionnement. L’une des religieuses en charge des enfants fait germer l’idée chez le jeune garçon : son histoire mérite d’être écrite et lue.
Il finit par revenir sur son île natale des années plus tard, mais celle-ci a tellement changé qu’il doit encore faire face à un dépaysement.
Aujourd’hui, l’auteur aimerait que son livre, plus qu’un témoignage, ouvre la voie à d’autres enfants qui ont partagé cette vie au foyer d’accueil d’Hell-Bourg, pour qu’ils écrivent à leur tour.
Celui-ci vient par ailleurs d'être nominé aux trophées FNAC Réunion, catégorie livre pour adultes.
Quelques années plus tard, il est envoyé en métropole avec une vingtaine d’autres enfants du foyer, sans avis préalable. Camille découvre son nouveau foyer, l’orphelinat Saint-Jean à Albi, où il lui faut s’adapter une nouvelle fois. Ici, il connait l’éloignement. Tout ou presque est différent : les personnes, le climat, la nourriture, la langue, le fonctionnement. L’une des religieuses en charge des enfants fait germer l’idée chez le jeune garçon : son histoire mérite d’être écrite et lue.
Il finit par revenir sur son île natale des années plus tard, mais celle-ci a tellement changé qu’il doit encore faire face à un dépaysement.
Aujourd’hui, l’auteur aimerait que son livre, plus qu’un témoignage, ouvre la voie à d’autres enfants qui ont partagé cette vie au foyer d’accueil d’Hell-Bourg, pour qu’ils écrivent à leur tour.
Celui-ci vient par ailleurs d'être nominé aux trophées FNAC Réunion, catégorie livre pour adultes.