Commentaires
grondin
le 03/05/2022 à 07:21
seule???? et le chauffeur de bus té vive avec elle?
ZACH
le 02/05/2022 à 20:05
Toutes mes respects Madame. J'ai pas pu m'empêcher de laisser couler un peu de larmes longue vie à vous.
Kafrine
le 02/05/2022 à 19:58
Bravo à vous madame vous avez pas baisser les bras 👍👍. Et courage aux femmes seules qui se bat , qui donne l'éducation pour leurs enfants chaque jour 👏👏
Kayam 🖊
le 02/05/2022 à 19:28
Zistoir gramoune... Madam la c in gramoune ?? pou mwin in gramoune nana dan lé 80 zan à monter é y dépen aussi la manière le kor lé tourné-viré. Kom di le patois, nana bane gramoune lé enkor gadianm té !
Sakène y péz le poids son malèr, son mizèr : tou sèl, akompagné mé en tou k, li té doi ète in joli madame dan son jeunès' 🙎
666
le 02/05/2022 à 18:56
Une mère courage et un père lâche, c'est souvent comme ça, les contre-exemples existent mais c'est plus rare.
Llort
le 02/05/2022 à 17:23
bonjour le bilan carbone
La faim ....
le 02/05/2022 à 16:29
Bravo Madame ! Respect
Zistoir gramoune : Seule avec 5 enfants
Rédigé le 02/05/2022
SF
Aujourd’hui retraitée, Marie-Gisèle revient sur ses premières années de vie de célibataire, seule, avec ses cinq enfants.
Marie-Gisèle a grandi avec sa mère et son beau-père, un ancien commandant, jusqu’à la mort de celui-ci. À ses 18 ans, Marie-Gisèle rencontre l’amour et se marie avec celui dont elle garde encore un tendre souvenir : “J’aimais mon mari, un beau brun aux yeux verts de Salazie”.
Le Salazien gagne alors bien sa vie “mais boit beaucoup”, déplore-t-elle. À la suite d’une crise d’épilepsie, l’homme est conduit à l’hôpital. “Il a quitté l’hôpital, il est parti. Et jusqu’aujourd’hui je ne sais pas où il est parti", assure sa femme.
Le jour où son compagnon de vie disparaît après cette hospitalisation, la jeune femme, alors mère de famille, se retrouve seule, avec 5 enfants à élever.
“La vie n’était pas facile, je faisais ce que je pouvais. J’ai fait ce que j’ai pu”, confie-t-elle.
Désormais seule aux commandes de sa famille, la jeune mère travaille dans la restauration aérienne pour subvenir aux besoins de ses enfants. Les journées de Marie-Gisèle sont bien chargées, les nuits parfois très longues et le frigidaire pas toujours rempli, mais les enfants sont nourris : “Du pain, du beurre, du lait, du riz, des grains… On mangeait”, raconte-t-elle.
Aujourd’hui à la retraite, la mère célibataire est aussi grand-mère 19 fois et arrière-grand-mère de 14 enfants, sa plus grande fierté : "Ils sont gâtés avec moi, et je suis aussi gâtée avec mes petits-enfants", conclut-elle.
Le Salazien gagne alors bien sa vie “mais boit beaucoup”, déplore-t-elle. À la suite d’une crise d’épilepsie, l’homme est conduit à l’hôpital. “Il a quitté l’hôpital, il est parti. Et jusqu’aujourd’hui je ne sais pas où il est parti", assure sa femme.
Le jour où son compagnon de vie disparaît après cette hospitalisation, la jeune femme, alors mère de famille, se retrouve seule, avec 5 enfants à élever.
“La vie n’était pas facile, je faisais ce que je pouvais. J’ai fait ce que j’ai pu”, confie-t-elle.
Désormais seule aux commandes de sa famille, la jeune mère travaille dans la restauration aérienne pour subvenir aux besoins de ses enfants. Les journées de Marie-Gisèle sont bien chargées, les nuits parfois très longues et le frigidaire pas toujours rempli, mais les enfants sont nourris : “Du pain, du beurre, du lait, du riz, des grains… On mangeait”, raconte-t-elle.
Aujourd’hui à la retraite, la mère célibataire est aussi grand-mère 19 fois et arrière-grand-mère de 14 enfants, sa plus grande fierté : "Ils sont gâtés avec moi, et je suis aussi gâtée avec mes petits-enfants", conclut-elle.