Commentaires
armand
le 27/01/2023 à 18:43
Malheureusement il y a de plus en plus d'individu qui n'ont plus ou n'ont pas ...toutes leurs fonctions mentales ...et plus ça va ...plus il y en a ....de la denrée qui se reproduit trop et empoisonne la vie d'autrui
Pascale
le 27/01/2023 à 09:57
La pauvre chérie a eu le courage de venir témoigner... :) On devrait lui décerner une médaille sachant comment se passe souvent ce genre d'affaire... même sur un mensonge il y a toujours condamnation aux pays des droits de l'homme! :)
Mais lol
le 26/01/2023 à 09:22
Post 1, vous avez lu l'article ou quoi?
Il aura droit à rien de tout ça puisque condamné coupable avec internement d'office. Il va devoir bouffer du cachetons en HP pendant des années avant espérer retrouver l'air libre...
samantha
le 26/01/2023 à 01:43
Encore 1 kmor
Royal Bourbon
le 25/01/2023 à 23:06
Evidemment, il aura droit à des circonstances atténuantes car "était sous l'emprise de l'alcool" ou atteint de maladie psychiatrique... comme d'hab ! C'est tellement facile de tout excuser l'alcool ! On pourra même parodier le "cogito ergo sum" (je pense donc je suis) de Descartes par "je bois donc je tue" ou "je bois donc je viole" ! Pfff !
Reconnu coupable d'agression sexuelle, il est interné par le tribunal
Publié le 25/01/2023 par Regis Labrousse
par Regis Labrousse
Un jeune homme comparaissait ce mercredi devant le tribunal judiciaire de Saint-Denis pour des faits d'agression sexuelle. La victime venait tout juste d'avoir 15 ans au moment de cette agression.
Un calvaire. C'est ce qu'a vécu une adolescente de 15 ans qui sortait des cours le 28 octobre 2022 dernier à la gare routière de Saint-Paul. Alors qu'elle attend le bus avec une copine, la jeune victime voit un homme se diriger vers elle avec le regard hagard. Arrivé au plus près, elle constate qu'il sent fortement l'alcool. Sans aucune gêne, il pose les mains sur ses cuisses puis remonte jusqu'à son entrecuisse. "Vous êtes fou !!?" lui dit-elle effarée. "Quoi qu'est-ce qu'il y a" lui répond l'individu avant de tenter de lever son t-shirt, à la suite de quoi, il lui touche la poitrine. Elle se dégage immédiatement et rentre intelligemment dans un bus pour se défaire de l'agresseur.
De retour au domicile familial, elle parvient difficilement à raconter les faits à ses parents. Faisant preuve d'un excellent réflexe, sa mère l'emmène immédiatement chez SOS médecin. La victime croise et reconnaît son agresseur sur le chemin. Sa mère parvient à le prendre en photo, tandis que le ton monte avec son conjoint. L'agresseur s'en va et les parents déposent plainte.
Celui-ci est identifié grâce à la photo prise. Présente au moment des faits, l'amie de la jeune fille confirme les faits et reconnaît l'auteur sur la photo. L'enquête met en évidence que les agents de sécurité de la gare routière connaissent l'individu de vue. Ils affirment qu'il est souvent à l'affût de jeunes filles. Il est interpellé plus tard et placé en détention provisoire.
De retour au domicile familial, elle parvient difficilement à raconter les faits à ses parents. Faisant preuve d'un excellent réflexe, sa mère l'emmène immédiatement chez SOS médecin. La victime croise et reconnaît son agresseur sur le chemin. Sa mère parvient à le prendre en photo, tandis que le ton monte avec son conjoint. L'agresseur s'en va et les parents déposent plainte.
Celui-ci est identifié grâce à la photo prise. Présente au moment des faits, l'amie de la jeune fille confirme les faits et reconnaît l'auteur sur la photo. L'enquête met en évidence que les agents de sécurité de la gare routière connaissent l'individu de vue. Ils affirment qu'il est souvent à l'affût de jeunes filles. Il est interpellé plus tard et placé en détention provisoire.
Il demande des soins par une hospitalisation sous contrainte
La jeune victime, toujours très perturbée par ces faits sordides, a eu le courage de venir à l'audience de ce mercredi. On comprend dès le début que le prévenu n'a pas toute sa tête. Ses propos sont décousus, incohérents. "Je ne sais pas comment je m'appelle, quand je suis né. Je ne sais pas où j'habite et je ne sais pas quel âge j'ai", répond-t-il d'emblée à la présidente qui s'y attendait, à la vue de l'expertise psychiatrique effectuée. Le psychiatre diagnostique des troubles schizophrènes avant de conclure qu'il est aboli du discernement au moment des faits. Non accessible à une sanction pénale, il demande des soins par une hospitalisation sous contrainte, ce qui est rare devant ce tribunal.
"J'ai rien fait. Je demande mes papiers volés pour rentrer chez moi. Je veux récupérer mon argent. Je l'ai jamais vu cette fille, moi, madame", clame le prévenu avec de la voix et en boucle. Le parquet demande qu'il soit reconnu coupable et requiert une hospitalisation immédiate sous contrainte tenant compte de l'avis médical. Le tribunal reconnaît la jeune fille en sa qualité de victime en prononçant la culpabilité du prévenu. Il décide d'une hospitalisation immédiate sous contrainte complète. "Je ne veux pas, je ne suis pas couillon dans ma tête", crie l'homme en quittant la salle escorté de près par la police.
La jeune victime, toujours très perturbée par ces faits sordides, a eu le courage de venir à l'audience de ce mercredi. On comprend dès le début que le prévenu n'a pas toute sa tête. Ses propos sont décousus, incohérents. "Je ne sais pas comment je m'appelle, quand je suis né. Je ne sais pas où j'habite et je ne sais pas quel âge j'ai", répond-t-il d'emblée à la présidente qui s'y attendait, à la vue de l'expertise psychiatrique effectuée. Le psychiatre diagnostique des troubles schizophrènes avant de conclure qu'il est aboli du discernement au moment des faits. Non accessible à une sanction pénale, il demande des soins par une hospitalisation sous contrainte, ce qui est rare devant ce tribunal.
"J'ai rien fait. Je demande mes papiers volés pour rentrer chez moi. Je veux récupérer mon argent. Je l'ai jamais vu cette fille, moi, madame", clame le prévenu avec de la voix et en boucle. Le parquet demande qu'il soit reconnu coupable et requiert une hospitalisation immédiate sous contrainte tenant compte de l'avis médical. Le tribunal reconnaît la jeune fille en sa qualité de victime en prononçant la culpabilité du prévenu. Il décide d'une hospitalisation immédiate sous contrainte complète. "Je ne veux pas, je ne suis pas couillon dans ma tête", crie l'homme en quittant la salle escorté de près par la police.