Commentaires
Castor
le 21/02/2023 à 19:49
31.Posté par Pascale le 03/02/2023 09:46
Bien dit 👍 Tous ces macronistes me dégoûtent!! Les astres et la terre ne sont pas de leurs côtés.
Castor
le 21/02/2023 à 19:48
Et oui encore mettre la pression sur le bas peuple... ce gouvernement corrompu jusqu'à la moelle. Lrem incompétente, sournoise, L'exploitation est en marche.... Macron pauvre clown. Acteur de crise. Messieurs dames qui ne paient pas d'impôts, qui vivent dans des palaces, et des F10. Je vous souhaite le malheur financier à tout ceux qui insultes les rsatistes. Bande de zouaves.
Castor
le 21/02/2023 à 19:45
36. Posté par JORI le 07/02/2023 20:10
Et vous donc... vos sources sont TF1, Cnews, antenne réunion, France 24, Le Parisien, Le Figaro.. ?
En gros les médias qui cachent les vérités au peuple. Nous polarisent en nous faisant aller dans le sens du politiquement correct et de la pensée dominante... la pensée de gauche quoi. Que des mensonges, et de la corruption, de l'ingénierie sociale. C'est cela.
Ah oui qui est ce qui contrôle les médias en France ? Les milliardaires et l'état non ? Donc en gros on ne risque pas d'avoir d'esprits critiques envers le gouvernement et ses mesures et ses réformes draconiennes .
JORI
le 07/02/2023 à 20:10
34.Posté par Nono le 03/02/2023 14:50
"La corruption coute 100 milliards/an.", et vous, vos sources??. 😂😂😂
Tamoul
le 03/02/2023 à 23:51
Je ne comprends pas les gens qui critique autant les personnes qui sont au RSA, ils ne faut pas mettre tout le monde dans le même panier. Sa peut arriver à n'importe qui de perdre son travail et se retrouver au chômage et au RSA. Le président du département à dit que c'est du travail à intérêt général. J'aimerais savoir si le RSA à volé ou tué une personne pour qu'il dit sa.
Nono
le 03/02/2023 à 14:50
Le cout du RSA est de 20 milliards/an.
L'évasion fiscale coute 80 milliards/an.
La corruption coute 100 milliards/an.
Revoyez vos priorités, les haineux.
Re-Philo974
le 03/02/2023 à 11:20
Vus certains commentateurs, nombreux sont donc tombés dans le grand piège républicain qui consiste à monter la tête des classes sociales supérieures contre les plus bas de notre société. Pourquoi existe-t-il un revenu minimum de "survie" chez nous? C'est à cause tout simplement de l'éternelle incompétence de l’État à mener à bien une politique économique assez dynamique pour que le pays soit tiré vers le haut. La République a pour devoir de contribuer à la survie, à la dignité, à la sécurité et garantir le minimum vital du citoyen. Dans la mesure où il faillit dans la politique de développement social et économique du pays (chômage chronique, crise économique, précarité sociale, échec et appauvrissement du tissus économique), celle-ci ne peut tenir pour responsables ceux qui sont les premières victimes de son échec. Mais notre système a trouvé la bonne parade en renvoyant le sac de "patates chaudes" sur le dos des exclus.Faire croire que la France s'appauvrit à cause des plus pauvres, c'est prendre les citoyens pour des cloches. Mais vue la réaction de certains individus sur le sujet, nos dirigeants n'ont pas besoin de fournir trop d'effort pour y arriver. Quand à savoir qui paye les minimas sociaux, juste préciser que la société de consommation ne fait pas de différence entre l'argent des uns et des autres. Les taxes sur consommation Eau, EDF, Loyers, les TVA, l'Octroi de mer et tout autres racket fiscal vont dans les mêmes caisses de l’État. Pour l'instant, les seuls à vraiment bénéficier d'un traitement de faveur, ce sont des salariés de la fonction publique à qui l’État verse une compensation financière (prime de vie chère), afin d'affronter la chèreté de la vie en Outre-Mer. Pour les autres du secteur privé, c'est "zéro kalbass la fimé gran bois"..Alors , vous les "indétrônables" travailleurs du privé, aigris et amères de votre voisin RSA, au lieu de cracher vos venins sur les plus démunis, il serait temps d'exiger de vos patrons (principaux engraissés sur votre dos) ou à l’État de réajuster vos revenus sur l'inflation et la vie chère. Autrement je vous propose d'échanger vos situations sociales de travailleurs contre celles d'un chômeur. Histoire de goûter aux joies du chômage et des plaisirs du "grattage de boyo" sous les filaos..
Payet
le 03/02/2023 à 10:41
Moi j'ai travailler, j'ai arrêter pour cause , occupé de la mère de 83 ans atteinte d'un cancer et opéré déjà deux fois ,jai fait une demande de RSA ,vous croyez c'est facile pour moi je l'emmène partout a ces examens,j'ai un fils de 3 ans et demi que je dépose a l'école tout les matin je repars récupérer c'est pas du travail ça ,mettez vous a ma place . Alors il ne faut pas mettre tout le monde dans le même panier , vous les autres qui critiquent vous savez pas la vie des autres , balaye devant votre propre maison voilà .
Pascale
le 03/02/2023 à 09:46
A toutes les personnes qui ont beaucoup de venin et de fiel dans leur gosier contre les personnes au chômage et au RSA, je vous souhaite beaucoup beaucoup de malheur dans vos vies misérables... J'espère que vous finirez par perdre votre travail que beaucoup ont eu par piston et que vous vous retrouverez dans une situation encore plus critique que ceux qui triment tous les jours pour survivre en étant au RSA. Je vous maudit tous.
Jac
le 03/02/2023 à 09:46
Ce RSA devrait être supprimé à tout lemonde , et le chomage baisserait ils seraient obligés d aller travailler ! Et nos impôts baisseraient j en ai mare de payer pour des faineants
Mitt Errand
le 03/02/2023 à 08:49
C'est pour continuer nourrir zot vice, la paresse qu'il faudra repousser l'âge de la retraite.
Mélanie
le 03/02/2023 à 02:39
Et ……. C’est bien dommage de donner de l’argent à des gens qui ne font rien
TICOQ
le 03/02/2023 à 05:35
Quand j'étais au RMI j'étais contrôlé régulièrement pour savoir si j'avais trouvé une activité qui me donnait droit à ce REVENU MINIMUM D'INSERTION.
Ensuite on a ajouté les mots SOLIDARITÉ ACTIVE et plus personne ne se sentait obligé de bosser.
Quelles seront les conséquences pour ceux qui refuseront de faire ces 20 heures ?
J'ai la réponse : aucune.
Ce sont les mêmes qui votent LFI et qui revendiquent 1600 € de "retraite" sans avoir jamais bougé leur cul pour s'en sortir.
OREO974
le 02/02/2023 à 22:00
Allez demander aux mauriciens qui travaillent 70h par semaine pour un RSA pendant que certains vivent au frais de la princesse.
Cette France tourne a l'envers
Tilouli
le 02/02/2023 à 21:02
C’est faux, quand tu ne bosses pas la crèche est quasiment gratuite avec les chèques Marmailles
Pfff c''''est du n''''importe quoi
le 02/02/2023 à 20:51
Franchement, mi comprend pas !
Mi les pour moin que les gens qui touche le RSA y boss !!! Travail la jamais tuer personne. Comment zot y peut accepter demoune y reste assise zot Kaze y touche l'argent gratuitement MAIS Les gens qui lève tou les matin po aller travail alors!! Zot y pense a ça? Et le plus joli dans tous ça . C'est que quand n'a une prime pour gagner et bin c'est le RSA qui touche. Et nous?? nous ???? Si nous veut gagne un ti l'argent en plus bin quoi y reste à nous a faire ??? Des heure de travail en po nous gagner. Sinon nous va mange not boyo même Fait bour le système !!!
974lamoukat
le 02/02/2023 à 20:31
bin kontinié béz la rak dovan la boutic
Ouais...
le 02/02/2023 à 17:07
Ramassis de lieu commun, concernant les bénéficiaires du rsa, ç est connu on est l abri derrière un contrat de travail, ou à la tête d une équipe,jusqu'au jour où on fait chier le mauvais boug, tout le monde peut se casser la gueule. Quand aux enfants, quand on leur demande ce qu ils veulent faire dans la vie, il y en a aucun qui dit je veux être au rsa...
On ne va pas entrer dans la psychologie de l enfance, mais les préjugés s installent des la plus tendre enfance, ils savent que c'est "pas bien"...
Vu l opinion que certains ont des pauvres, je comprends les gauchistes mais se serait excuser les fashistes.
lavérité
le 02/02/2023 à 16:32
et c'est bien dommage car nos fossés et routes seraient bien mieux entretenus !! les trottoirs pour nos gramounes et maman ek poussettes seraient plus propres et mieux utilisés. alors continuons à payer avec nos impôts la fainéantises de nos cousins !!..
Le révolutionnaire
le 02/02/2023 à 16:09
Dit au Président du Département d'assumer sa responsabilité, puisque c'est lui qui à proposer à Macron que la réunion est volontaire pour le dispositif !!!!!Il veut être ministre: négatif pas de carrure
JORI
le 02/02/2023 à 15:46
18.Posté par Samp le 02/02/2023 15:02
"vie est dure pour vous vivez votre vie tranquille les RSA ne dérange pas votre vie financière", ah bon!!!. Et comment est financé le RSA selon vous ?. 😂😂😂
Samp
le 02/02/2023 à 15:02
Mettez vous au RSA après vous pourrez discuter vous étes que des fonctionnaires abrutis pas les riches qui vous font croient que c est a cause des RSA que la vie est dure pour vous vivez votre vie tranquille les RSA ne dérange pas votre vie financière
Honteux
le 02/02/2023 à 13:22
Je trouve ce dispositif honteux...à croire que tous les chômeurs et rmiste veulent cette situation là. Plutôt que de taxer les super profits on préfère taper sur les précaires.
Vladimir
le 02/02/2023 à 12:00
On aurait aimé voir les mamas grosses travaillées...mangées et faites des banbinos c 'est bien ...
France Travail : Non, les bénéficiaires du RSA ne vont pas devoir "travailler"
Publié le 02/02/2023 par Sophie Fontaine
par Sophie Fontaine
La Réunion est le seul département d’Outre-mer à avoir été retenu pour l’expérimentation du dispositif France Travail en 2023. Son déploiement est prévu d'ici le mois d'avril dans deux communes de l'île.
Le dispositif France Travail sera déployé dans deux communes de La Réunion d'ici le mois d'avril. Ce sont 2.500 Réunionnais bénéficiaires du RSA, qu’ils soient inscrits au Pôle Emploi ou non, qui feront partie de cette expérimentation. Le groupe de personnes sélectionné “se veut être un panel représentatif de la population de La Réunion” en vue d’un déploiement plus large à l'échelle nationale l’année suivante, détaille Angélique Goodall, directrice du Pôle Emploi Réunion.
L’offre de service est en cours de peaufinage mais les grandes lignes sont déjà bien définies. Le Pôle Emploi, le Conseil départemental, la CAF, la mission locale et l’ensemble des acteurs de l’emploi mais aussi du social devront agir ensemble pour accompagner ces personnes jusqu’au marché du travail.
“L’idée, c’est d'expérimenter une offre de service qui soit commune au Conseil départemental, à Pôle Emploi, aux missions locales et bien d’autres partenaires pour aller vers une insertion dans le monde du travail. France Travail, c’est accompagner de manière encore plus forte ces personnes pour qu’elles puissent répondre aux besoins de recrutement des entreprises en travaillant encore plus main dans la main”, assure la directrice de Pôle Emploi Réunion.
Un accompagnement personnalisé pour travailler à la source sur les freins à l'emploi
Les personnes incluses dans ce dispositif bénéficieront d'un accompagnement personnalisé, qui peut être à la fois sur le volet social et pour la recherche professionnelle pour viser l’emploi ou l’apprentissage en vue d’une insertion sur le marché du travail.
“On est conscient que la problématique peut être double”, assure-t-elle, illustrant son propos : “Je ne peux pas payer la crèche parce que je n'ai pas de travail, mais je ne peux pas travailler parce que je n’ai pas de solution de garde pour mon enfant. Il faut qu’on travaille avec toutes les structures qui existent, CAF, crèches, pour répondre à ce type de problématiques”.
L’idée est de travailler à la source sur les problèmes qui les excluent du monde du travail pour qu’ils puissent, petit à petit, accéder à l’emploi. La première étape est de poser un diagnostic de la situation de chacun, en évaluant les freins rencontrés.
"L'accompagnement social, ça peut être répondre à une jeune femme (...) qui quitte le système scolaire à 15 ans parce qu’elle se retrouve enceinte et qui se retrouve au RSA pendant une petite période pour pouvoir subvenir aux besoins de l’enfant. On va l’accompagner, une fois que la garde d’enfant sera résolue, progressivement vers l’emploi. On va l’emmener sur un parcours d’apprentissage, ça va être très long. Il n’est pas question de la pousser à tout prix, mais de prendre en considération que pendant un moment, elle ne sera pas disponible pour un emploi", explique Angélique Goodall.
Elle poursuit : "Il y a d'autres bénéficiaires, plus en marge du marché du travail, qu’il faut aller rechercher. Le travail, c’est d’aller au plus près de ces personnes pour bien poser les difficultés qu’elles rencontrent (santé, compétente, etc.), et surtout de régulièrement réinterroger ce diagnostic".
L’offre de service est en cours de peaufinage mais les grandes lignes sont déjà bien définies. Le Pôle Emploi, le Conseil départemental, la CAF, la mission locale et l’ensemble des acteurs de l’emploi mais aussi du social devront agir ensemble pour accompagner ces personnes jusqu’au marché du travail.
“L’idée, c’est d'expérimenter une offre de service qui soit commune au Conseil départemental, à Pôle Emploi, aux missions locales et bien d’autres partenaires pour aller vers une insertion dans le monde du travail. France Travail, c’est accompagner de manière encore plus forte ces personnes pour qu’elles puissent répondre aux besoins de recrutement des entreprises en travaillant encore plus main dans la main”, assure la directrice de Pôle Emploi Réunion.
Un accompagnement personnalisé pour travailler à la source sur les freins à l'emploi
Les personnes incluses dans ce dispositif bénéficieront d'un accompagnement personnalisé, qui peut être à la fois sur le volet social et pour la recherche professionnelle pour viser l’emploi ou l’apprentissage en vue d’une insertion sur le marché du travail.
“On est conscient que la problématique peut être double”, assure-t-elle, illustrant son propos : “Je ne peux pas payer la crèche parce que je n'ai pas de travail, mais je ne peux pas travailler parce que je n’ai pas de solution de garde pour mon enfant. Il faut qu’on travaille avec toutes les structures qui existent, CAF, crèches, pour répondre à ce type de problématiques”.
L’idée est de travailler à la source sur les problèmes qui les excluent du monde du travail pour qu’ils puissent, petit à petit, accéder à l’emploi. La première étape est de poser un diagnostic de la situation de chacun, en évaluant les freins rencontrés.
"L'accompagnement social, ça peut être répondre à une jeune femme (...) qui quitte le système scolaire à 15 ans parce qu’elle se retrouve enceinte et qui se retrouve au RSA pendant une petite période pour pouvoir subvenir aux besoins de l’enfant. On va l’accompagner, une fois que la garde d’enfant sera résolue, progressivement vers l’emploi. On va l’emmener sur un parcours d’apprentissage, ça va être très long. Il n’est pas question de la pousser à tout prix, mais de prendre en considération que pendant un moment, elle ne sera pas disponible pour un emploi", explique Angélique Goodall.
Elle poursuit : "Il y a d'autres bénéficiaires, plus en marge du marché du travail, qu’il faut aller rechercher. Le travail, c’est d’aller au plus près de ces personnes pour bien poser les difficultés qu’elles rencontrent (santé, compétente, etc.), et surtout de régulièrement réinterroger ce diagnostic".
Des heures d’activités mais pas de travail
“Il ne faut pas faire de raccourcis” concernant les heures d’activité que devront effectuer les bénéficiaires, tempère la directrice de Pôle Emploi.
Le dispositif prévoit 15 à 20 heures d'activités imposées aux bénéficiaires du RSA, mais non, il ne s’agit pas de les faire travailler en échange de leurs indemnités.
Sur le même principe que le Contrat d'Engagement Jeune (CEJ), les personnes sélectionnées aptes à trouver un emploi devront effectuer une activité liée à leur recherche.
En 2022, ce sont 6.000 jeunes Réunionnais qui ont fait partie de ce dispositif qui a par ailleurs “porté ses fruits”, se félicite Frédérique Goodall. “En contrepartie d’une allocation que l’on leur verse, ils acceptent d'être accompagnés de façon extrêmement intensive et de mettre en place, avec un conseiller, un parcours durant lequel toutes les semaines ils doivent avoir des activités de recherche d’emploi à effectuer. Je ne parle pas de travail mais bien de recherche d’emploi. Pendant qu'ils réalisent ces activités-là pour chercher du travail, ils ne peuvent pas travailler à côté”.
En somme, une fois le diagnostic posé, les personnes sélectionnées devront participer à des ateliers d’aide à la recherche d’emploi, (conseils pour le CV, entretiens), immersions en entreprise, participation à des job-dating etc. Des étapes “à réaliser pour pouvoir être inséré plus rapidement”.
“Il ne faut pas faire de raccourcis” concernant les heures d’activité que devront effectuer les bénéficiaires, tempère la directrice de Pôle Emploi.
Le dispositif prévoit 15 à 20 heures d'activités imposées aux bénéficiaires du RSA, mais non, il ne s’agit pas de les faire travailler en échange de leurs indemnités.
Sur le même principe que le Contrat d'Engagement Jeune (CEJ), les personnes sélectionnées aptes à trouver un emploi devront effectuer une activité liée à leur recherche.
En 2022, ce sont 6.000 jeunes Réunionnais qui ont fait partie de ce dispositif qui a par ailleurs “porté ses fruits”, se félicite Frédérique Goodall. “En contrepartie d’une allocation que l’on leur verse, ils acceptent d'être accompagnés de façon extrêmement intensive et de mettre en place, avec un conseiller, un parcours durant lequel toutes les semaines ils doivent avoir des activités de recherche d’emploi à effectuer. Je ne parle pas de travail mais bien de recherche d’emploi. Pendant qu'ils réalisent ces activités-là pour chercher du travail, ils ne peuvent pas travailler à côté”.
En somme, une fois le diagnostic posé, les personnes sélectionnées devront participer à des ateliers d’aide à la recherche d’emploi, (conseils pour le CV, entretiens), immersions en entreprise, participation à des job-dating etc. Des étapes “à réaliser pour pouvoir être inséré plus rapidement”.
Expérimentation dans deux communes de La Réunion
Cette expérimentation qui concerne 19 départements français intervient en pleine période de relance économique. “La relance est telle que la demande n'a jamais été aussi forte depuis 10 ans, il faut vraiment que tout le monde puisse rentrer dans le train. Aujourd’hui, il y a malheureusement des personnes marginalisées. Il faut aller les rechercher pour les accompagner et qu'elles profitent elles aussi de cette relance", conclut la directrice de Pôle Emploi.
La Réunion fait partie des 19 territoires retenus et sera le seul département ultramarin qui testera France Travail. Deux communes de La Réunion seront choisies pour l'expérimentation du dispositif lors d'un comité de pilotage composé notamment du préfet de La Réunion et du président du Conseil départemental le 21 février prochain. Le test portera en 2023 sur l’accompagnement renforcé d’un nombre volontairement limité de bénéficiaires du revenu de solidarité active (RSA). Environ 2.500 personnes seront concernées. Le démarrage opérationnel devrait intervenir d’ici le mois d’avril, précise la préfecture.
Cette expérimentation qui concerne 19 départements français intervient en pleine période de relance économique. “La relance est telle que la demande n'a jamais été aussi forte depuis 10 ans, il faut vraiment que tout le monde puisse rentrer dans le train. Aujourd’hui, il y a malheureusement des personnes marginalisées. Il faut aller les rechercher pour les accompagner et qu'elles profitent elles aussi de cette relance", conclut la directrice de Pôle Emploi.
La Réunion fait partie des 19 territoires retenus et sera le seul département ultramarin qui testera France Travail. Deux communes de La Réunion seront choisies pour l'expérimentation du dispositif lors d'un comité de pilotage composé notamment du préfet de La Réunion et du président du Conseil départemental le 21 février prochain. Le test portera en 2023 sur l’accompagnement renforcé d’un nombre volontairement limité de bénéficiaires du revenu de solidarité active (RSA). Environ 2.500 personnes seront concernées. Le démarrage opérationnel devrait intervenir d’ici le mois d’avril, précise la préfecture.