Commentaires
spider
le 20/01/2023 à 01:34
ah bon dans les autres pays personne y boit pas. ol faut arrêter de stigmatiser la réunion le partout pareil
benoscar
le 19/01/2023 à 10:30
L'alcool coûte cher aux contribuables, alors, pourquoi ne pas l'imposer fortement, par exemple une taxe en fonction du taux, par exemple 55% pour la bière, 500% pour le rhum.
RABIJACOB
le 19/01/2023 à 10:01
Je ne vois pas l'importance de la publication d'un tel procès dans cette rubrique. Ce genre de ''baisement'' dans les couples est monnaie courante à la Réunion. Les journalistes n'ont pas d'autres sujets plus importants à relater?. Tout le monde sait que le rhum coule à flot, et qu'il coulera encore tant que la culture de la canne à sucre sera subventionnée à coups de centaines des millions d'euros (mes impôts et les vôtres). Il est vrai que les choux, carottes et autres légumes ne poussent plus sur cette ile, il faut les importés, les allocataires du RSA ne peuvent pas se nourrirent avec simplement du rhum et du zamal. Messieurs les journalistes, de grâce, arrêtez vos articles à deux balles et intéressez vous à des sujets plus importants. Tout le monde sait que le rhum, le zamal et autres produits nocifs font parti de la ''Kiltir'' locale, le travail un peu moins. Faites la grève aujourd'ui, il y aura moins d'articles débiles dans cette rubrique demain.
Choupette
le 19/01/2023 à 09:10
2 choses à leur enlever :
le gosse & le chien
D'urgence.
nathchocolat
le 19/01/2023 à 05:48
Et pourquoi la femme qui est aussi alcoolique que son mec ne se fait pas soigné ?
Inconu 974
le 19/01/2023 à 02:40
L'alcool fais plus de dégat que tous autres produit ( drogue )pour quoi sa vente n'est telle pas interdi un point c'est tout!!!!!!
Rhum arrangé par la justice
le 19/01/2023 à 01:43
Elle est surtout sous l'emprise de l'alcool, elle était chargée à 3g, lui à 2g, mais comme d'habitude c'est le mec qui trinque (sans vouloir faire de jeu de mots...)
Saint-Paul : Il lui jette une bouteille au visage pour qu'elle arrête de boire
Rédigé le 18/01/2023
Isabelle Serre
C'est une nouvelle chronique de la violence conjugale ordinaire qui s'est jouée à la chambre des comparutions immédiates ce mercredi. Un couple défoncé au rhum s'est disputé pour la énième fois devant un enfant de neuf ans avant que les coups ne fusent.
A la barre du tribunal correctionnel de Saint-Denis ce mercredi, monsieur reconnait qu'il faut qu'il arrête de boire et se fasse soigner. Il aimerait également que sa compagne, avec qui il est en couple depuis deux ans, en fasse de même. Le 15 janvier, le couple très alcoolisé s'est disputé une fois de plus devant l'enfant de madame âgé de neuf ans.
Un sujet aussi banal que les soins du chien a provoqué la colère de madame qui a demandé gentiment à monsieur de "fermer sa gueule". Mais au lieu d'obtempérer et pour la convaincre qu'il ne voyait pas les choses de cette façon, Alexandre L. a balancé la bouteille d'alcool qui se trouvait sur la table dans la figure de sa moitié.
Un sujet aussi banal que les soins du chien a provoqué la colère de madame qui a demandé gentiment à monsieur de "fermer sa gueule". Mais au lieu d'obtempérer et pour la convaincre qu'il ne voyait pas les choses de cette façon, Alexandre L. a balancé la bouteille d'alcool qui se trouvait sur la table dans la figure de sa moitié.
Atteinte au visage, la victime souffrant d'une plaie de 5 cm à l'arcade sourcilière a été conduite à l'hôpital avec un taux d'alcool de 3gr/l. Six points de suture lui ont été posés. Son compagnon était quant à lui à 2gr/l.
"On peut craindre le pire dans ce contexte de violences répétées au sein du couple. Madame ne veut pas porter plainte car elle est sous emprise. Le tout devant un enfant mineur, victime collatérale" a indiqué le procureur de la République. Car Alexandre L. a déjà été condamné en juillet 2022 à 6 mois de prison avec sursis pour des faits similaires, ajoutant une huitième condamnation à son casier judiciaire.
"Il est malade mais il le sait. Il faut que le tribunal l'encourage dans ce sens" a plaidé l'avocate du prévenu afin que sa peine soit assortie d'une injonction de soins. Le tribunal a entendu et a condamné le conjoint violent à 18 mois de prison dont 12 avec sursis probatoire, une obligation de soigner son addiction, de travailler et une interdiction d'entrer en contact avec la victime.
A la demande de l'Arajufa, l'Association réunionnaise pour l'aide juridique aux familles et aux victimes, l'enfant devra être indemnisé pour le préjudice subi.
"On peut craindre le pire dans ce contexte de violences répétées au sein du couple. Madame ne veut pas porter plainte car elle est sous emprise. Le tout devant un enfant mineur, victime collatérale" a indiqué le procureur de la République. Car Alexandre L. a déjà été condamné en juillet 2022 à 6 mois de prison avec sursis pour des faits similaires, ajoutant une huitième condamnation à son casier judiciaire.
"Il est malade mais il le sait. Il faut que le tribunal l'encourage dans ce sens" a plaidé l'avocate du prévenu afin que sa peine soit assortie d'une injonction de soins. Le tribunal a entendu et a condamné le conjoint violent à 18 mois de prison dont 12 avec sursis probatoire, une obligation de soigner son addiction, de travailler et une interdiction d'entrer en contact avec la victime.
A la demande de l'Arajufa, l'Association réunionnaise pour l'aide juridique aux familles et aux victimes, l'enfant devra être indemnisé pour le préjudice subi.