Commentaires
Ouais...
le 29/10/2022 à 15:22
Poste 18 vous êtes donc d accord avec moi," le racisme, vous dites c est n importe quoi", et je vous cite.
974
le 28/10/2022 à 14:22
a POST 12 . bin pourquoi sa serait a mr le maire la faute si rien n'est fait???? il n'oblige personne a adopter un chien cest plutot a ces maitres de prendrent leurs responsabilités sinon cest trop facile !!!
Anne Mangue
le 28/10/2022 à 12:30
horrible, pauvre bête, c'est atroce ! cet horrible cas ne doit pas rester impuni, faudrait des recherches ADN pour retrouver le bourreau qui risque de récidiver.
paulux peiné
le 28/10/2022 à 11:40
Les politiques se fichent complétement de la souffrance animale, ça les obligerait à faire la leçon à leurs électeurs. Finalement BB avait raison...
Pierre
le 28/10/2022 à 10:53
lu la du bouf zanimo demoun
Lulu
le 28/10/2022 à 10:43
à 15.Posté par Ouais... le 28/10/2022 07:14, LA VERITE vous dérange??? faut appeler un chat un chat c'est tout, arrêtons de nous voiler la face, le monde de Bisounours n'apporte rien à par escamoter le problème qui à terme vous reviendra en pleine gueule! racisme vous dites, c'est du n'importe quoi!
666
le 28/10/2022 à 08:28
le rhum la pas bon même
riverstar974
le 28/10/2022 à 08:00
Brigitte Bardot a raison
Ouais...
le 28/10/2022 à 07:14
Déjà, quand il y a un kleenex de jetter les racistes sortent, comme les tangues après la pluie,la pour un animal massacré ça n allait pas faire un pli, ça reprend les propos de cette grande dame condamnée.
Une chose, en passant pharos, zinfo connaît ? Ainsi que tout ces haineux ? Perso, je ne fais pas de signalement, car une famille n est pas responsable de ce que dit l'un de ces membres (en terme de sanction). Peut être que les racistes de zinfo, pourraient appliquer le même principe concernant "cette population de sauvage".
Lulu
le 28/10/2022 à 06:42
....post 13, la justice s'en fout, les élus encore plus, vous avez chez nous une catégorie qui peut tout faire sans être inquiété, feux dans les parkings, immeubles.....maltraitance animale et cela dans une grand indifférence, le créole est trop passif devant ces faits, faudrait une jour et rapidement régler ce problème car notre ile n'est plus ce qu'elle était, et au passage Brigitte Bardot avais plus que raison dans ses propos, faut pas se voiler la face, ce genre de fait en est la preuve hélas!
NINA
le 27/10/2022 à 19:49
Brigitte Bardot a totalement raison, la Réunion n'est plus ce qu'elle était. Que fait la justice concernant la maltraitance animal?
Observateur
le 27/10/2022 à 19:43
C'est certainement un de ces chiens martyrisés dans les immeubles abandonnés de Saint-Denis.
Honte à la mairie de Saint-Denis !
Kala
le 27/10/2022 à 19:01
Dans un endroit public.?
Mais ces propos stigmatisant de façon expéditive les Réunionnais à la première occasion et sans preuve, ça devient un réflexe chez ces gens là et chez leurs braves serviteurs...
...il y en aura surement un qui va en faire un buzz et raconter que c'est une tradition ici...
Les désaxés sont dans la nature mais désormais la vermine raciste pullule ici.
Devieuxsouvenirs
le 27/10/2022 à 18:07
Tous les verrous des interdits sautent les uns après les autres,tant sur les êtres humains que sur les animaux ,la transgression fait partie de la norme à cause de lois non appliquées.Retour à l’état de barbarie.
Fred
le 27/10/2022 à 18:02
En lisant l ' article , je me dis que brigitte Bardot ne mérite pas d ' être condamnée.
Mme Bardot la bien rezon voyez vous
le 27/10/2022 à 17:25
Brigitte bardot a bien identifié la sous culture locale de sauvages consanguins. Tant pis pour le politiquement correct .
TICOQ
le 27/10/2022 à 17:00
Brigitte Bardot aurait-elle finalement raison ? Je préfère, de loin, les animaux à certains "humains".
Blacko
le 27/10/2022 à 16:48
Nou la fé !!
laidpreux
le 27/10/2022 à 16:15
au secours brigitte bardot !
L’Artizte
le 27/10/2022 à 16:05
Les lois ne sont pas appliquées. C’est le désordre. Plus de répression.
La guerre civil bientôt
Fab
le 27/10/2022 à 13:26
Après créole lé outré quand bb i dit zot vérité ! Vraiment une bande de cannibales
petocean
le 27/10/2022 à 14:56
Tous le monde sait ici quels sont les responsables de ces exactions car la maltratence animale est une seconde nature chez eux, voir une culture, mais touchez à un des leurs ! Ils ne font que la perpétrer ici puisqu' on nous a imposé leur présence !
Disons merci à celui qui a permis toutes ces horreurs, perpétrées par des malades mentaux.
L'avenir de notre île est sombre, car mecaniquement d'ici à 10 ou 15 ans ils seront majoritaires et nous courrons vers une mutation irréversible de notre société qui peu à peu va se rapprocher de modèles tels que le département du 93, ou de la banlieue marseillaise.
Lulu
le 27/10/2022 à 14:12
....la mairie de Saint Denis.....pfff que du vent, parade bientôt pour le 20 décembre !
Maltraitance animale : Un passant fait une effroyable découverte sur le littoral dionysien
Rédigé le 27/10/2022
N.P
Un homme a fait une horrible découverte sur le littoral du Chaudron le mois dernier. Le corps d’un chien décapité se trouvait dans des sacs plastique à proximité de la promenade.
Alors qu’il se rendait pour sa pause déjeuner sur le littoral dionysien, à proximité du cimetière des lépreux, Julien* a faire une découverte qui lui a coupé l’appétit.
"En déambulant, j’ai vu un sac plastique. Au début, je pensais que c’était des algues ou des herbes. Puis, j’ai identifié un œil. Je me suis rapproché et c’est là que j’ai vu une tête de chien", se remémore-t-il amèrement. Mais l’horreur ne s’arrête pas là. Il voit ensuite le corps de l’animal, dans le sac plastique à côté. Selon lui, les sacs ont possiblement été jetés à la mer avant d’échouer sur le rivage. Il est par contre certain qu'ils n'étaient pas là deux jours auparavant.
Laisser les animaux se faire maltraiter, une position "totalement obsolète"
"J’ai trouvé ça cruel et sauvage en même temps. C’était abominable de voir ça. Surtout sur une plage où des gens peuvent venir. Il peut même y avoir des enfants", peste-t-il. Après avoir dénoncé cette situation auprès de la police, de la maire de Saint-Denis et de la SPA, il espère que des actions seront menées pour trouver les auteurs de ces faits.
"Nous sommes dans une culture, une société, où des animaux sont maltraités sans qu'une bonne partie de la population s'en préoccupe. À mon sens, c'est une position qui est totalement obsolète", déplore le psychosociologue Arnold Jaccoud."Aujourd'hui on est dans un siècle, un monde où on s'est interrogé sur le respect de la vie et sur le respect de la qualité de la vie, et on voit que le rapport à l'animal se modifie, que ce soit l'animal sauvage ou domestique. Aujourd'hui on ne peut plus faire bon marché de leur existence".
*Prénom d’emprunt
"En déambulant, j’ai vu un sac plastique. Au début, je pensais que c’était des algues ou des herbes. Puis, j’ai identifié un œil. Je me suis rapproché et c’est là que j’ai vu une tête de chien", se remémore-t-il amèrement. Mais l’horreur ne s’arrête pas là. Il voit ensuite le corps de l’animal, dans le sac plastique à côté. Selon lui, les sacs ont possiblement été jetés à la mer avant d’échouer sur le rivage. Il est par contre certain qu'ils n'étaient pas là deux jours auparavant.
Laisser les animaux se faire maltraiter, une position "totalement obsolète"
"J’ai trouvé ça cruel et sauvage en même temps. C’était abominable de voir ça. Surtout sur une plage où des gens peuvent venir. Il peut même y avoir des enfants", peste-t-il. Après avoir dénoncé cette situation auprès de la police, de la maire de Saint-Denis et de la SPA, il espère que des actions seront menées pour trouver les auteurs de ces faits.
"Nous sommes dans une culture, une société, où des animaux sont maltraités sans qu'une bonne partie de la population s'en préoccupe. À mon sens, c'est une position qui est totalement obsolète", déplore le psychosociologue Arnold Jaccoud."Aujourd'hui on est dans un siècle, un monde où on s'est interrogé sur le respect de la vie et sur le respect de la qualité de la vie, et on voit que le rapport à l'animal se modifie, que ce soit l'animal sauvage ou domestique. Aujourd'hui on ne peut plus faire bon marché de leur existence".
*Prénom d’emprunt